pékin 8 212 Km LOS ANGELES 9 682 KM BARCELONE 864 KM SYDNEY 16 950 KM RIO 9 162 Km parisAthènes On émet autant de CO₂, à savoir 1 tonne pour : tokyo PARIS an ka ra EMBARQUEMENT dictionnaire Les plus fortunés quittent Rome pour fuir les grosseschaleurs de la ville. Dès l’Antiquité L’Église impose des jours chômés qui servent notamment aux pèlerinages. Au Moyen-Âge En pleine révolution industrielle, les Britanniques inventent le « tourisme moderne » : les cheminsde fer facilitent l’accès à la mer, à la campagne,à la montagne, partout où l’air est frais et pur,à l’inverse de l’air pollué des villes! Au XIXe siècle La moitié des Londoniens prennent des vacances hors de chez eux ! Dès 1934 En France, le Front Populaire révolutionne les vacances en instaurant 12 jours de congés payées par l’employeur. 1936 Il faut attendre les années 50 pour quele départ en vacances devienne une réalité pour tous avec l’augmentation sensibledu nombre de voitures et de trainsen circulation. Années 1950 Des vacancesau kilomètre Comment en est-on arrivé là ? S’il y a bien un moment que l’on attend dans l’année, ce sont les vacances ! Et là, après des semaines passées à la maison… l’envie de prendre le large se fait clairement sentir. Mais les vacances, ça ne veut peut-être pas dire la même chose pour tout le monde… Pour certains, c’est profiter du temps libre pour se consacrer au jardinage et au bricolage,à des loisirs sédentaires que l’on interrompt quelquefoisle temps d’une excursion dans les environs. Pour d’autres,les vacances, c’est bronzer sur une plage ensoleillée, découvrir une ville, explorer une nature exotique aux mille parfums... Mais pour beaucoup, les vraies vacances, c’est partir, partir loin ! Si l’idée que « vacances = départ » est aujourd’hui si bien reçue, c’est que la pratique du voyage s’est particulièrement développée durant la 2nde moitié du XXe siècle. Mais le goût du voyage comme loisir ou du bain de mer comme agrément sont le fruit d’un leeeeent apprentissage culturel, et de l’essor de nouveaux moyens de transport. Le grand nombre de kilomètres parcourus est-il de toute façon l’ingrédient indispensable pour des vacances réussies ? Bonne question. Départ immédiat pour en savoir plus. Qu’est-ce que tu fais pour les vacances ? C’est que désormais pour quelques centaines d’euros « seulement », on peut partir en quelques heures à l’autre bout de la planète. en moyenne en 25 ans sur un billet d’avion pour un vol de 4 heures en classe éco au départ de la France Partir en avion est donc accessible à de plus en plus de personnes à travers le monde, et la croissance du trafic aérien provient essentiellement des pays émergents. En tête, on retrouve bien sûr la Chine ! Le pays assisteà l’explosion d’une classe moyenne qui a soif de voyager,et de sortir d’un pays autrefois renfermé sur lui-même. Alors en situation de quasi-monopole, les compagnies aériennes historiques voient débarquer de nouveauxacteurs avec la dérégulation du marché aérien dès 1978aux États-Unis et dans les années 1990 en Europe.En 2018, 1,3 milliard de passagers ont embarqué à bordd’un vol “low cost”, soit environ 1/3 du nombre total dutrafic mondial. En quelques clics, on peut bénéficier d’une offre pour passer 5, 10 ou 15 jours au bout du monde, à des prix défiant l’imaginable. On le sait (et cela rend fou !),les prix des billets d’avion ne sont jamais les mêmes à midi ou à minuit.Une des raisons ? Le yield management : une fluctuation des prix en temps réelen fonction de l’offre et de la demande. Autrement dit : ces offres promotionnelles vous proposent des prix alléchants pour des périodes creuses, ce qui vous donne envie de partir plus souvent. À elle seule par exemple, Ryanair (première compagnie européenne) a transporté 152 millions de voyageurs en 2019. En 2019, de passagers ont pris l’avion selon l'Association du transport aérien international (IATA). Et le nombre d’avions dans le ciel est en constante hausse. Revenons un peu en arrière pour mieux comprendre Une baisse des tarifs qui s’explique principalement par 3 facteurs : Quels problèmes y a t-il à prendre l’air ? Petit point kérosène :Le traitement de faveur du secteur aérien Heureusement, des innovations pourraient voir le jour Malheureusement, ces progrès ne suffiront probablement pas à compenser la hausse du trafic aérien si la reprise du trafic se confirme : plus de 13% par rapport à l’année précédente ! Le record journalier a d’ailleurs été atteint en juillet 2019 avec sont dues à l’avion ! Parmi toutes les émissions degaz à effet de serre provoquées par les transports touristiques, Donc si nos trajets en avion coûtent de moins en moins cher, ils ont en revanche un véritable coût pour la planète. En 2018, le tourisme est responsable de 8% des émissions de gaz à effetde serre de la planète dont une bonne partie est due aux trajets en avion. Le transport aérien, lui, représente 5 % des émissions de gaz à effet de serre.Ça paraît peu et pourtant… Et c’est sans compter d’autresgaz à effet de serre difficilement mesurables : l’oxyde d’azote,émis lors de la phase de décollageet de montée, et les traînées de condensation.Mais le réel problème, c’est qu’avec l’avion, il est devenu presque banal de parcourir plus de2 000 km pour seulement quelques jours de vacances. Les émissions de dioxyde de carbone engendrées par le transport aérienen Europe a augmenté de 28% depuis 2013, c’est bien plus que la hausse enregistrée par n’importe quel autre moyen de transport ! À ce jour, le secteur aérien ne souffre d’aucune contrainte financière : le kérosène est le seul carburant fossile qui ne supporte aucune taxe, même pas la TVA. Pourquoi ? En 1944, la convention internationale de Chicagosur l’aviation civile interdit la taxation pour favoriser le trafic aérien internationalet surtout, empêcher que les avions ne fassent le plein dans un pays plutôtqu’un autre. 75 ans plus tard, les Pays Bas, la Belgique, et (depuis juin 2019)la France se prononcent sur l’ouverture d’une réflexion. Le secteur de l’avion tente de limiter ses émissions de gaz à effet de serre = -350€ Le développement des compagnies low cost 1 Le boom des offres promotionnelles sur Internet 2 Les performances des avions se sont considérablement améliorées ces derniers temps. Les nouveaux modèlessont capables de transporter jusqu’à 450 personnes et d’assurer des liaisons de douze heures sans refaire le plein,et sont conçus avec des matériaux plus légers, donc moins gourmands en carburant. Le kérosène représente entre15 et 30 % du prix du billet d’avion selon le type d’avion etla distance parcourue. Donc quand le prix du carburant baisse, le prix des billets s’allège légèrement (hors variation des taux de change et mécanisme du taux de couverture). 1 aller/retour Paris - New York en avion pour 1 personne (12 000km) la consommation annuelle du chauffage d’un petit appartement. La baisse des coûts d’exploitation 3 Airbus et Boeingalloueraient une part de leur recherche et développementà la construction d’avions plus responsables. Les avions les plus performants du moment consommeraient ainsi Airbus développe un modèle expérimental d’A340 équipé d’ailes “laminaires” pour un meilleur écoulement de l’air et donc économe en carburant. L’Office Nationald’Études et de RecherchesAérospatiales travaillesur un modèle d’avionà propulsion électrique qui pourrait être mis en circulation d’ici 2030. L’association des compagnies aériennes internationales (IATA)prévoyait avant l'épidémie du COVID-19 un doublement du traficaérien mondial avec 8,2 milliards de passagers dans les airs en 2037.Mais maintenant, après la crise sanitaire dueau COVID-19, que va-t-il se passer dans le ciel ? Évolution du nombre de passager aérien au vu des différentes crises historiques Difficile à dire pour le moment. Cependant, si on s’en tient à ce que l’Histoire nous enseigne, le nombre de passagers asouvent battu des records au lendemainde chocs mondiaux tels que la crise financièrede 2008.Cette fois-ci, quand les conditions sanitaires seront réunies, le trafic aérien devrait donc encore rebondir, à moins que les compagnies aériennes ne soient enfin obligées à payer des taxes, à revoir leurs projections avecdes mesures fortes d’encadrement du traficet à utiliser des carburants plus propres.Ce « rebond » risque d’ailleurs de se confirmer rapidement quand on sait qu’en Europe,30 milliards d’euros d’aides au secteur aérien sont en discussion, et un peu moins de la moitiéa déjà été accordée sans réelle contrepartie. moins de carburantqu’il y a 50 ans. Plus léger Moteursmoins gourmandsen carburant Meilleuraérodynamisme 10% 20% 30% 2014 2015 2016 2017 2018 2019 +28% La tendance à voyager toujours plus était encore récemment confirméepar l’Organisation mondiale du tou- risme et allait en s’amplifiant puisque1 800 000 000 touristes internationauxétaient prévus en 2030 soit une hausse de 1973 1979 1990 2008 Aujourd’hui 2001 1997 1 M 2 M 3 M 4 M 5 M 1erchocpétrolier 1er Guerredu Golfe 11 sept. et2e Guerredu Golfe Crise financièremondiale 2echocpétrolier Crise économiqueAsiatique touristes internationaux ont parcouru le monde en 2019 (le nombre a plus que doublé en seulement 15 ans). du nombre de touristesen à peine 10 ans. +20% La preuve en est, le nombre de touristes a E.X.P.L.O.S.É : Et même si les voyages forment la jeunesse – et la vieillesse – il y a un problème de taille à cela… les transports. À l’heure où l’on ne peut plus vraiment se déplacer où bon nous semble pendant quelque temps et où une conscience écologique des transports gagne du terrain en Europe, notamment avec le mouvement de « honte de prendrel’avion » (« flygskam » en suédois), prendre des transports polluants pour parcourir le monde semble de toute manièreen dérouter plus d’un. Car des émissions degaz à effet de serre du tourisme sont liées au transport. 3/4 Les vacances ne sont plus un caprice, mais un asservissement à des lois migratrices mystérieuses. « » C’est ainsi que Paul Morand écrit dès 1965 dans Le voyage : Depuis, l’avion a le vent en poupe pour partir en vacances. Il permetde raccourcir la durée du voyage, et de rallonger la distance parcourue.On part plus souvent, moins longtemps, mais toujours plus loin. 1950 25 000 1980 278 000 000 2000 674 000 000 2019 1 500 000 000 En regardant le sol s’éloigner à travers le hublot et le soleil régner au-delà des nuages, vous vous détendez en pensant aux vacances qui vous attendent. Ou vous prenez la main de votre partenaire en vous réjouissant à l’avance des quelques jours que vous allez passer à découvrir cette ville d’Europe ou au-delà, que vous ne connaissez pas encore. Ce à quoi vous ne pensez sûrement pas, c’est qu’au même moment,quelques 500 000 autres personnes sont elles aussi dans le ciel en train de voyager en avion…L’avion n’a pas fait du ciel le plus bel endroit de la Terre, mais un des plus encombrés, assurément ! Flashback : S’envoler un jour pour quelques jours +130% en 20 ans Et c’est ainsi aussi que le nombre de touristes qui se met à parcourir le monde explose, jusqu’à début 2020. Avec l’arrêt soudain du trafic aérien pour enrayerla propagation du Covid-19, il y a eu environ 90% de vols en moins en mars-mai 2020 qu’à la même période en 2019 ! définition du Littré « » Touristes : Voyageurs qui ne parcourent des pays étrangers que par curiosité et désœuvrement, qui font une espèce de tournée dans des pays habituellement visités par leurs compatriotes 40%
08.06.2022 bonnespratiques Envie deColorado ? Envie deCANADA ? Envied’Irlande ? Envie deSAHARA ? Envie deTURQUIE ? Envie deFINLANDE ? Envied’équateur ? Envie deTHAÏLANDE ? Envied’Australie ? Partir en vacances, c’est se donner l’occasion de voyager, de se réveillerdans un nouveau décor, de renoncer un temps à ses habitudes, en somme,d’être dépaysé. Mais faut-il nécessairement partir loin pour s’évader ?Pas forcément. Et si ce contexte sanitaire contraignant était l’occasion dedécouvrir les fabuleuses destinations en France qui vous feront voyager àl’autre bout du monde en seulement quelques kilomètres. Découvrez où. Alors, On opte pour les voyages en covoiturage, en train, en bus,en bateau (pas paquebot) voireen vélo quand cela est possible. On regardequoi faire à deuxpas de la maison. Pour 1kmpour 1 passager, l’avion est : Pour visiter ces merveilles,on essaie au maximumd’emprunter le train, moyende transport qui rejette le moinsde CO2 (avec la marche et le vélo,mais ça prend plus de temps…ou alors on fait les deux : le trainet le vélo) : Pour choisir sur un itinéraire précis le moyen de transportle plus économe en énergie, on peut obtenir une estimation en fonction de la distance à parcourir sur Ecolab Imposée par la crise financière de 2008, le « stay-cation », concept renforcépar la crise du COVID 19, s’impose désormais comme une manière de rompreavec son quotidien en prévoyant de passer ses vacances à la maison. On l’oublie parfois, mais nos villes et régions regorgent de trésors qui ne demandentqu’à être découverts ! On fait attention à respecter l’environnement des pays que l’on découvre. Par exemple, on pense à rapporter ses piles s’il n’y a pas de système de récupération dans le pays, ou on évite d’utiliser trop de savon et de shampoing car les eaux usées ne sontpas toujours traitées. En absolu dernier recourset en dehors des vacances Par exemple, si on doit absolument prendre l’avion pour rejoindre l’être aimé qui vit loin de soi : On privilégieles vols sans escalecar le décollageest une sourceimportante d’émis-sion de gaz à effetde serre. On peut se tourner vers un organisme de compensation carbone. Mais cette solution n’en est pas une pour de nombreuses associations. On prévoitdes séjours aussilongs que possiblepour amortir sonempreinte carboneliée au vol. Et enfin, on soutient une relance verte. Pour demander un sauvetage financier des compagniesaériennes en contrepartie d’un respect des Accords de Paris,on participe à des initiatives citoyennes. On emporte nos bonneshabitudes dans les valises ! Que l’on parte au bout du monde ou en France, tout commeà la maison, on privilégie les fruits et légumes de saison,les produits locaux et sans suremballage, on ne laisse pas le moteur de la voiture tourner à l’arrêt, on n’utilise pasla climatisation hors autoroute (il suffit de baisser les vitres !), on trie ses déchets, on ne jette pas de produits dangereuxà la poubelle, on ne laisse aucun déchet dansla nature, on ne jette pas de mégots par terre mais on investit dans un petit cendrier de poche.Bref, comme d’habitude quoi. Pour des résultats plus précis, on peut utiliser des calculateurs : Aérien Ferroviaire plus polluant que le bus 7x plus polluantque le train 14X plus polluant que le TGV 40X Une infographie réalisée par ECOLAB ECOLAB SNCF SNCF éco-calculateur éco-calculateur EN SAVOIR PLUS EN SAVOIR PLUS Sources :IEG-EGO | Innotour | UNWTO | Sénat | Ministère de la Transition écologique et Solidaire | ONU |FNAM | MyClimate | Méthode de calcul des émissions de GES SNCF/ADEME | IATA | ADEME | Commission Européenne | OECD | Cairn | Les Entreprises du Voyage | Tourmag | Flightradar24 |Transport & Environnement | OACI | Air Journal | EuroControl | DGAC c’est par ici c’est par ici découvrir découvrir découvrir découvrir découvrir découvrir découvrir découvrir découvrir découvrir découvrir découvrir découvrir découvrir découvrir découvrir découvrir découvrir découvrir découvrir Le lac de Lispach Qu’on aime les sports d’hiver, les balades en famille oules pique-niques au bord de l’eau, le Lac de Lispatchet sa superbe tourbière ontde quoi séduire ! Au cœurdes Vosges et en toutes saisons, le lac dévoile ses paysages. À vos appareils photos ! plus d’infos plus d’infos 35 km dela gare de Remiremont (TGV, TER) Pas de vélorouteà proximité Le site est àproximité du GR5 Les falaises d’Etretat Gustave Courbet, Claude Monet, Gustave Flaubert ou Guy de Maupassant ne s’y sont pas trompés ! On vient du mondeentier admirer et immortaliserles impressionnantes falaisesde craie blanche, presque immaculées se jeter dans la meret leurs petites plages de galets gris. Des sentiers de randonnée permettent de découvrirce paysage fascinant. plus d’infos plus d’infos 16 km de la gare de Rolleville (TER) L’EV 4 passe parle site d’Etretat Le site est sur le GR21 La cascade des Tufs Ici, la végétation est foisonnante et le spectacle époustouflant. D’un massif calcaire, situé dans un décor bleu/vert, jaillissent ende multiples cascades ces eaux qui viennent se jeter dansle bassin du Dard. À admirerles pieds dans l’eau… plus d’infos plus d’infos 10km de la gare de Domblans-Voiteur (TER) Pas de vélorouteà proximité Le site est sur le GR59 La dune du Pilat Une dune de sable, vivante, mouvante ? C’est le cas dela dune du Pilat à l’entrée du bassin d’Arcachon. Chaque année, sous l’effet du vent et des marées, elle avancede 1 à 5 mètres et embrassela forêt de pins environnante. Un spectacle à admirercôté terre ou côté mer ! plus d’infos plus d’infos 10km dela gare dela Teste (gare TGV, TER) L’EV1 passe parla dune du Pila Le site estle point d’arrivée/départ du GR8 Le lac de Salagou Ce lac artificiel, servant deretenue à un barrage n’en est pas moins remarquable. Creuséedans les années 60, cettevaste étendue d’eau de 700h présente une riche palette de couleurs : le rouge des ruffes,le noir du basalte, les bleus du ciel et du lac se laissent découvrirpar les amateurs de voile, de randonnées, de VTT ou tout simplement de beaux paysages. plus d’infos plus d’infos 27 km dela gare le Bousquet-d’Orb (TER) Pas de vélorouteà proximité Le site est àproximité du GR7 et du GR653 Le site des Orgues Ici, pas de plage ni d’hôtelmais un paysage lunaire de cheminées de fées à la hauteur des reliefs de la Cappadoce turque. Taillées par l’érosion depuis quatre millions d’années les Orgues du site géologique d’Ille-sur-Têt mesurent de 10à 12 mètres de hauteur. Un lieu unique et exceptionnel qui vous transportera à l’autrebout de la Méditerranée ! plus d’infos plus d’infos 3 km de la gare Ille-Sur-Têt (TER) Pas de vélorouteà proximité Pas de GRà proximité Méandre de Queuille On pourrait croire voir l’Amazone, mais il s’agit biende la rivière Sioule situéedans le Puy-de-Dôme qui forme ce magnifique méandre. Queuille nous offre un superbe panorama sur ce spectacle naturel, l’humidité et les insectes hostiles en moins. plus d’infos plus d’infos 21 km de la gare de Volvic (TER) Pas de vélorouteà proximité Le site est àproximité du GR4 Le plateau des mille étangs S’étalant sur plus de 220 km², le plateau des 1000 Étangs offre un paysage atypique. Façonnéil y a 12 000 ans par les glaciers, on y découvre les landes, les prés et les forêts entremêlésde ruisseaux et de plans d'eau.À pied, à vélo ou à cheval il est facile de flâner au cœur de cet espace rythmé par une foison d’animations : sorties nature, festivals, concerts, fêtes de village. plus d’infos plus d’infos 11 km dela gare de Lure(TER) À proximitédu segment cyclable qui fait la liaison entrela V50 à l'EV6 Le site est àproximité du GR59 Le lac de Sainte-Croix Entre montagnes et eau, le cadre estidyllique. Après une bonne marche àpied aux senteurs de la provence surles sentiers, quoi de mieux que dese reposer ou même se baignerdans ce grand lac aux couleursaussi turquoises que celles descascades Agua Azul du Chiapas.Entre collines du Haut Var et plateaude Valensole, vous pourrez mêmefaire de la voile, du pédalo pourremonter les gorges du Verdon. plus d’infos plus d’infos 42 kmde la gare Manosque Greoux les Bains (TER) Pas de vélorouteà proximité Le site est sur le GR4 Les Ocres de Rustrel Dans le Vaucluse, sur plusde 30 hectares, au milieu de massifs forestiers verdoyants, 20 teintes d’ocres se laissent admirer le long du cheminde grande randonnée GR6 ;un contraste étonnant qui émerveille. Pour tout savoirdu Colorado Provençal, c’est par ici : plus d’infos plus d’infos 45 km dela gare de Cavaillon (TER) À proximité de l’EV 8 Le site est sur le GR97
tokyo PARIS an ka ra pékin 8 212 Km LOS ANGELES 9 682 KM RIO 9 162 Km BARCELONE 864 KM SYDNEY 16 950 KM dictionnaire parisAthènes Des vacancesau kilomètre S’il y a bien un moment que l’on attend dans l’année, ce sont les vacances ! Et là, après des semaines passées à la maison… l’envie de prendre le large se fait clairement sentir. Mais les vacances, ça ne veut peut-être pas dire la mêmechose pour tout le monde…Pour certains, c’est profiter du temps libre pour se consacrerau jardinage et au bricolage,à des loisirs sédentaires quel’on interrompt quelquefoisle temps d’une excursion dansles environs. Pour d’autres, les vacances, c’est bronzer surune plage ensoleillée, découvrir une ville, explorer une nature exotique aux mille parfums... Mais pour beaucoup, les vraies vacances, c’est partir, partir loin ! La preuve en est, le nombrede touristes a E.X.P.L.O.S.É : Et même si les voyages formentla jeunesse – et la vieillesse – il y a un problème de tailleà cela… les transports. À l’heure où l’on ne peut plus vraiment se déplacer où bonnous semble pendant quelque temps et où une conscience écologique des transportsgagne du terrain en Europe, notamment avec le mouvement de « honte de prendre l’avion »(« flygskam » en suédois), prendre des transports polluants pour parcourir le monde semblede toute manière en dérouterplus d’un. Depuis, l’avion a le vent enpoupe pour partir en vacances.Il permet de raccourcir la durée du voyage, et de rallongerla distance parcourue. On part plus souvent, moins longtemps, mais toujours plus loin. Et c’est ainsi aussi que le nombre de touristes qui se met à parcourir le monde explose, jusqu’à début 2020. Avec l’arrêt soudain du trafic aérien pour enrayerla propagation du Covid-19, il y a eu environ 90% de vols en moins en mars-mai 2020 qu’à la même période en 2019 ! La tendance à voyager toujours plus était encore récemment confirmée par l’Organisation mondiale du tourisme etallait en s’amplifiant puisque1 800 000 000 touristes internationaux étaient prévusen 2030 soit une hausse de C’est ainsi que Paul Morand écrit dès 1965 dans Le voyage : Car 3/4 desémissionsde gaz à effet de serre du tourisme sont liées au transport. +130% en 20 ans Revenons un peu en arrièrepour mieux comprendre Les plus fortunésquittent Rome pour fuir les grosses chaleurs de la ville. Dès l’Antiquité En France, le Front Populaire révolutionne les vacances en instaurant 12 jours de congés payées par l’employeur. 1936 La moitié des Londoniens prennent des vacanceshors de chez eux ! Dès 1934 L’Église imposedes jours chômés quiservent notammentaux pèlerinages. Au Moyen-Âge Il faut attendre les années 50 pour que le départ en vacances devienne une réalité pour tous avec l’augmentation sensibledu nombre de voitures et de trains en circulation. Années 1950 En pleine révolutionindustrielle, les Britanniques inventent le « tourisme moderne » : les chemins defer facilitent l’accès à la mer,à la campagne, à la montagne, partout où l’air est frais et pur, à l’inverse de l’air pollué des villes! Au XIXe siècle Les vacances ne sont plus un caprice, mais un asservissementà des lois migratrices mystérieuses. « » Touristes : Voyageursqui ne parcourent despays étrangers que parcuriosité et désœuvrement,qui font une espèce de tournée dans des pays habituellement visitéspar leurs compatriotes « » Si l’idée que « vacances =départ » est aujourd’hui sibien reçue, c’est que la pratiquedu voyage s’est particulièrement développée durant la 2nde moitié du XXe siècle. Mais le goût du voyagecomme loisir ou du bain demer comme agrément sont le fruitd’un leeeeent apprentissage culturel, et de l’essor de nouveaux moyens de transport. Le grand nombre de kilomètres parcourus est-il de toute façon l’ingrédient indispensable pour des vacances réussies ? Bonne question. Départ immédiat pour en savoir plus. Qu’est-ce quetu fais pour les vacances ? 25 000 1950 1980 278 000 000 2000 674 000 000 touristes internationaux ont parcouru le monde en 2019(le nombre a plus quedoublé enseulement15 ans). 2019 1 500 000 000 du nombre de touristes en à peine 10 ans. +20% Flashback : S’envoler un jour pour quelques jours Comment en est-on arrivé là ? En regardant le sol s’éloigner à travers le hublot et le soleil régner au-delà des nuages, vous vous détendez en pensant aux vacances qui vous attendent.Ou vous prenez la main de votre partenaire en vous réjouissant à l’avance des quelques jours que vous allez passer à découvrir cette ville d’Europe ou au-delà, que vous ne connaissez pas encore.Ce à quoi vous ne pensez sûrement pas, c’est qu’au même moment, quelques 500 000 autres personnes sont elles aussi dans le ciel en train de voyager en avion… L’avion n’a pas fait du ciel le plus bel endroit de la Terre, mais un des plus encombrés, assurément ! En 2019, de passagers ont pris l’avionselon l'Association du transport aérien international (IATA). Et le nombre d’avions dansle ciel est en constante hausse. plus de 13% par rapport à l’année précédente ! C’est que désormais pour quelques centaines d’euros« seulement », on peut partiren quelques heures à l’autre bout de la planète. Le record journalier a d’ailleursété atteint en juillet 2019 avec 230 409 VOLS en moyenne en 25 ans sur un billet d’avion pour un vol de 4 heures en classe éco au départ de la France -350€ Une baissedes tarifs qui s’explique principalement par 3 facteurs : Le développementdes compagnieslow cost 1 Le boom des offres promotionnelles sur Internet 2 Alors en situation de quasi-monopole, les compagnies aériennes historiques voient débarquer de nouveaux acteurs avec la dérégulation du marché aérien dès 1978 aux États-Unis et dans les années 1990 en Europe. En 2018, 1,3 milliard de passagers ont embarqué à bord d’un vol“low cost”, soit environ 1/3 du nombre total du trafic mondial.À elle seule par exemple, Ryanair (première compagnie europé-enne) a transporté 152 millions de voyageurs en 2019. En quelques clics, on peut bénéficier d’une offre pourpasser 5, 10 ou 15 jours au boutdu monde, à des prix défiant l’imaginable. On le sait (et cela rend fou !), les prix des billets d’avion ne sont jamais les mêmes à midi ou à minuit. Une des raisons ? Le yield management : une fluctuation des prix en temps réel en fonction de l’offre et dela demande. Autrement dit :ces offres promotionnelles vous proposent des prix alléchants pour des périodes creuses,ce qui vous donne envie departir plus souvent.
08.06.2022 EMBARQUEMENT Envie deColorado ? Envie deCANADA ? Envied’Irlande ? Envie deTHAÏLANDE ? Envie deSAHARA ? Envied’Australie ? Envie deTURQUIE ? Envied’équateur ? Envie deFINLANDE ? Envie deMEXIQUE ? La baisse descoûts d’exploitation 2 Les performances des avions se sont considérablement améliorées ces derniers temps. Les nouveaux modèles sont capables de transporter jusqu’à 450 personnes et d’assurerdes liaisons de douze heuressans refaire le plein, et sont conçus avec des matériaux plus légers, donc moins gourmandsen carburant. Le kérosène représente entre 15 et 30 % du prix du billet d’avion selon le type d’avion et la distance parcourue. Donc quand le prix du carburant baisse, le prix des billets s’allège légèrement (hors variationdes taux de change et mécanisme du taux de couverture). Parmi toutes les émissions degaz à effet de serre provoquées par les transports touristiques, Donc si nos trajets en avion coûtent de moins en moins cher, ils ont en revanche un véritable coût pour la planète. En 2018, le tourisme est responsable de 8% des émissions de gaz à effet de serre dela planète dont une bonne partie est due aux trajets en avion. Le transport aérien, lui, représente 5 % des émissionsde gaz à effet de serre. Ça paraît peu et pourtant… 1 aller/retour Paris - New York en avion pour 1 personne (12 000km) la consommation annuelle du chauffage d’un petit appartement. = Partir en avion est doncaccessible à de plus en plus de personnes à travers le monde,et la croissance du trafic aérien provient essentiellementdes pays émergents. En tête,on retrouve bien sûr la Chine !Le pays assiste à l’explosiond’une classe moyenne quia soif de voyager, et de sortird’un pays autrefois renfermésur lui-même. Quels problèmes y a t-il à prendre l’air ? Petitpointkérosène :Le traitement de faveur du secteur aérien À ce jour, le secteur aérien ne souffre d’aucune contrainte financière : le kérosène est le seul carburant fossile qui ne supporte aucune taxe, même pas la TVA. Pourquoi ? En 1944, la convention internationale de Chicago sur l’aviation civile interdit la taxation pour favoriser le trafic aérien international et surtout, empêcher que les avions ne fassent le plein dans un pays plutôt qu’un autre. 75 ans plus tard, les Pays Bas,la Belgique, et (depuis juin 2019)la France se prononcent sur l’ouverture d’une réflexion. Le secteur de l’avion tentede limiter ses émissionsde gaz à effet de serre Alors, 1973 1979 1990 2008 Aujourd’hui 2001 1997 2 M 3 M 4 M 5 M 1erchocpétrolier 1er Guerredu Golfe 11 sept. et2e Guerredu Golfe Crise financièremondiale 2echocpétrolier Crise économiqueAsiatique Airbus développe un modèle expérimental d’A340 équipé d’ailes “laminaires” pourun meilleur écoulement de l’airet donc économe en carburant. L’Office National d’Études etde Recherches Aérospatialestravaille sur un modèle d’avionà propulsion électrique qui pourrait être mis en circulation d’ici 2030. Malheureusement, ces progrèsne suffiront probablement pas à compenser la hausse du trafic aérien si la reprise du trafic se confirme : L’association des compagnies aériennes internationales (IATA)prévoyait avant l'épidémiedu COVID-19 un doublementdu trafic aérien mondial avec8,2 milliards de passagers dansles airs en 2037. Difficile à dire pour le moment.Cependant, si on s’en tient àce que l’Histoire nous enseigne,le nombre de passagers a souvent battu des records au lendemain de chocs mondiaux tels quela crise financière de 2008.Cette fois-ci, quand les conditions sanitaires seront réunies, le trafic aérien devrait donc encore rebon dir, à moins que les compagnies aériennes ne soient enfin obligées à payer des taxes, à revoir leurs projections avec des mesures fortes d’encadrement du traficet à utiliser des carburants plus propres.Ce « rebond » risque d’ailleurs de se confirmer rapidement quand on sait qu’en Europe, 30 milliards d’euros d’aides au secteur aérien sont en discussion, et un peu moins de la moitié a déjà été ac-cordée sans réelle contrepartie. Partir en vacances, c’est se donner l’occasion de voyager, de se réveillerdans un nouveau décor,de renoncer un temps àses habitudes, en somme,d’être dépaysé. Mais faut-ilnécessairement partir loin pour s’évader ? Pas forcément. Et si ce contexte sanitaire contraignant était l’occasion de découvrirles fabuleuses destinations en France qui vous feront voyagerà l’autre bout du monde en seule-ment quelques kilomètres.Découvrez où. Mais maintenant,après la crise sanitaire dueau COVID-19, que va-t-il se passer dans le ciel ? Évolution du nombre de passa-ger aérien au vu des différentes crises historiques Heureusement, des innovations pourraient voir le jour Airbus et Boeing alloueraientune part de leur recherche et développement à la construction d’avions plus responsables.Les avions les plus performantsdu moment consommeraientainsi Plus léger Moteursmoinsgourmandsen carburant Meilleuraérodynamisme Et c’est sans compter d’autresgaz à effet de serre difficilement mesurables : l’oxyde d’azote,émis lors de la phase de décollageet de montée, et les traînéesde condensation. Mais le réel problème, c’est qu’avec l’avion, il est devenu presque banal de parcourir plus de 2 000 kmpour seulement quelquesjours de vacances. sont duesà l’avion ! 40% On émet autant de CO₂, à savoir 1 tonne pour : Les émissions de dioxydede carbone engendréespar le transport aérien en Europe a augmenté de 28% depuis 2013, c’est bien plus que la hausse enregistrée par n’importe quel autre moyen de transport ! 10% 20% 30% 2014 2016 2018 +28% moinsde carburantqu’il y a 50 ans. découvrir découvrir découvrir découvrir découvrir découvrir découvrir découvrir découvrir découvrir Les Ocres de Rustrel Dans le Vaucluse, sur plus de30 hectares, au milieu de massifs forestiers verdoyants, 20 teintes d’ocres se laissent admirer le longdu chemin de grande randonnéeGR6 ; un contraste étonnant qui émerveille. Pour tout savoir du Colorado Provençal, c’est par ici : plus d’infos 45 km de la garede Cavaillon (TER) À proximité de l’EV 8 Le site est sur le GR97 Le lacde lispach Qu’on aime les sports d’hiver,les balades en famille ou les pique-niques au bord de l’eau,le Lac de Lispatch et sa superbe tourbière ont de quoi séduire !Au cœur des Vosges et en toutes saisons, le lac dévoile ses paysages. À vos appareils photos ! plus d’infos 35 km de la gare de Remiremont (TGV, TER) Pas de vélorouteà proximité Le site està proximitédu GR5 Les falaises d’etretat Gustave Courbet, Claude Monet, Gustave Flaubert ou Guy de Mau-passant ne s’y sont pas trompés !On vient du monde entier admirer et immortaliser les impressionnantes falaises de craie blanche, presque immaculées se jeter dans la mer et leurs petites plages de galets gris. Des sentiers de randonnée permet-tent de découvrir ce paysagefascinant. plus d’infos 16 km de la garede Rolleville (TER) L’EV 4 passe parle site d’Etretat Le site est sur le GR21 la cascadedes tufs Ici, la végétation est foisonnante et le spectacle époustouflant. D’un massif calcaire, situé dans un décor bleu/vert, jaillissent ende multiples cascades ces eaux qui viennent se jeter dans le bassin du Dard. À admirer les pieds dans l’eau… plus d’infos 10km de la gare de Domblans-Voiteur (TER) Le site est sur le GR59 Pas de vélorouteà proximité la dunedu pilat Une dune de sable, vivante, mouvante ? C’est le cas de la dune du Pilat à l’entrée du bassin d’Arcachon. Chaque année, sous l’effet du vent et des marées,elle avance de 1 à 5 mètreset embrasse la forêt de pins environnante. Un spectacleà admirer côté terre ou côté mer ! plus d’infos 10km de la gare de la Teste(gare TGV, TER) L’EV1 passe parla dune du Pila Le siteest le pointd’arrivée/départdu GR8 le lacde salagou Ce lac artificiel, servant deretenue à un barrage n’en est pas moins remarquable. Creusée dans les années 60, cette vaste étendue d’eau de 700h présente une riche palette de couleurs : le rouge des ruffes, le noir du basalte, les bleus du ciel et du lac se laissent découvrir par les amateurs de voile, de randonnées, de VTT ou toutsimplement de beaux paysages. plus d’infos 27 km de la garele Bousquet-d’Orb (TER) Pas de vélorouteà proximité Le site est à proximitédu GR7 etdu GR653 le site des orgues Ici, pas de plage ni d’hôtel maisun paysage lunaire de cheminéesde fées à la hauteur des reliefs dela Cappadoce turque. Taillées par l’érosion depuis quatre millions d’années les Orgues du site géo-logique d’Ille-sur-Têt mesurent de 10 à 12 mètres de hauteur. Un lieu unique et exceptionnel qui vous transportera à l’autre bout dela Méditerranée ! plus d’infos 3 km de la gareIlle-Sur-Têt (TER) Pas de vélorouteà proximité Pas de GRà proximité méandrede queuille On pourrait croire voir l’Amazone, mais il s’agit bien de la rivière Sioule située dans le Puy-de-Dôme qui forme ce magnifique méandre. Queuille nous offreun superbe panorama sur ce spectacle naturel, l’humidité etles insectes hostiles en moins. plus d’infos 21 km de la garede Volvic (TER) Pas de vélorouteà proximité Le site està proximitédu GR4 le plateau des mille étangs S’étalant sur plus de 220 km², le plateau des 1000 Étangs offre un paysage atypique. Façonné il ya 12 000 ans par les glaciers, on y découvre les landes, les prés etles forêts entremêlés de ruisseauxet de plans d'eau. À pied, à vélo ou à cheval il est facile de flâner au cœur de cet espace rythmé par une foison d’animations : sorties nature, festivals, concerts, fêtes de village. plus d’infos 45 km de la garede Cavaillon (TER) À proximité du segment cyclable qui fait la liaison entre la V50 à l'EV6 Le site està proximitédu GR59 le lac de sainte-croix Entre montagnes et eau, le cadre est idyllique. Après une bonne marche à pied aux senteurs dela provence sur les sentiers, quoi de mieux que de se reposer ou même se baigner dans ce grand lac aux couleurs aussi turquoises que celles des cascades Agua Azul du Chiapas. Entre collines du Haut Var et plateau de Valensole, vous pourrez même faire de la voile, du pédalo pour remonter les gorges du Verdon. plus d’infos 42 km de la gare Manosque Greoux les Bains (TER) Pas de vélorouteà proximité Le site est sur le GR4
bonnespratiques Pour visiter ces merveilles, on essaie au maximum d’emprunter le train, moyende transport qui rejette le moinsde CO2 (avec la marche etle vélo, mais ça prend plusde temps… ou alors on faitles deux : le train et le vélo) : Pour choisir sur un itinéraire précis le moyen de transportle plus économe en énergie,on peut obtenir une estimationen fonction de la distanceà parcourir sur Ecolab Imposée par la crise financière de 2008, le « stay-cation »,concept renforcé par la crise du COVID 19, s’impose désormais comme une manière de rompre avec son quotidien en prévoyantde passer ses vacances à la maison.On l’oublie parfois, mais nosvilles et régions regorgent de trésors qui ne demandent qu’à être découverts ! Que l’on parte au bout du monde ou en France, tout commeà la maison, on privilégieles fruits et légumes de saison, les produits locaux et sans suremballage, on ne laisse pasle moteur de la voiture tournerà l’arrêt, on n’utilise pasla climatisation hors autoroute(il suffit de baisser les vitres !),on trie ses déchets, on ne jette pas de produits dangereuxà la poubelle, on ne laisse aucun déchet dans la nature, on ne jette pas de mégots par terre mais on investit dans un petit cendrier de poche. Bref, comme d’habitude quoi. Par exemple, on pense à rapporter ses piles s’il n’y apas de système de récupération dans le pays, ou on évite d’utiliser trop de savon etde shampoing car les eaux usées ne sont pas toujours traitées. Pour 1km pour1 passager, l’avion est : pluspolluantque le bus 7x 14X pluspolluantque le train plus polluant que le TGV 40X Pour des résultats plus précis, on peut utiliserdes calculateurs : Aérien On optepour les voyages en covoiturage, en train, enbus, en bateau(pas paquebot) voire en vélo quand cela est possible. On regardequoi faire à deuxpas de la maison. On emportenos bonneshabitudes dans les valises ! On fait attention à respecter l’environnement des pays que l’on découvre. En absolu dernier recourset en dehorsdes vacances Par exemple, si on doit absolument prendre l’avion pour rejoindre l’être aimé qui vit loin de soi : Pour demander un sauvetagefinancier des compagnies aériennesen contrepartie d’un respect desAccords de Paris, on participeà des initiatives citoyennes. On prévoit des séjours aussi longs que possiblepour amortir son empreinte carbone liée au vol. On privilégie les volssans escale car le décollageest une source importante d’émission de gaz à effetde serre. On peut se tourner vers un organisme de compensation carbone. Mais cette solution n’en est pas une pour de nombreuses associations. Et enfin,on soutient une relance verte. Une infographie réalisée par Ferroviaire éco-calculateur SNCF EN SAVOIR PLUS c’est par ici Sources :IEG-EGO | Innotour |UNWTO | Sénat | Ministèrede la Transition écologiqueet Solidaire | ONU | FNAM | MyClimate | Méthode de calcul des émissions de GES SNCF/ADEME | IATA | ADEME | Commission Européenne | OECD | Cairn | Les Entreprises du Voyage | Tourmag | Flightradar24| Transport & Environnement |OACI | Air Journal | EuroControl | DGAC ECOLAB